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Le Défi de la Mode Durable : Entre Motivation et Culpabilité

Le Défi de la Mode Durable : Entre Motivation et Culpabilité
2025-06-27 mode

Parijs, vrijdag, 27 juni 2025.
Les marques et les autorités peinent à communiquer autour de la mode durable. Lors d’une récente conférence de l’Ademe, il est apparu que les consommateurs restent principalement intéressés par l’esthétique et le prix, avant les aspects environnementaux. Nicolas Rohr de Faguo a souligné que ‘ce qui déclenche l’achat, c’est d’abord la beauté, pas l’écologie’. L’enjeu est d’inspirer les consommateurs sans les culpabiliser, en trouvant une stratégie de communication qui motive sans générer de sentiment de culpabilité. Le défi central est de toucher les consommateurs en plaçant leurs besoins au cœur de la démarche tout en transmettant subtilement des messages de durabilité.

Le Défi de Communication de la Mode Durable

Lors d’une conférence organisée par l’Ademe lundi dernier, il est apparu que les marques de mode et les instances gouvernementales continuent de lutter avec une communication efficace autour de la mode durable. Nicolas Rohr, cofondateur de Faguo, a souligné un défi marketing crucial : ‘Ce qui déclenche l’achat, c’est principalement la beauté, pas l’écologie’ [1]. Le consommateur priorise l’esthétique et le prix avant les considérations environnementales, ce qui complique la stratégie de communication des marques.

Cartographie du Comportement des Consommateurs

Une étude récente de l’ADEME montre que seulement 13% des Français déclarent ‘faire tout’ pour réduire leur impact environnemental, soit une baisse de 5 points de pourcentage par rapport à l’année dernière [2]. De plus, -13,636% de personnes achètent des articles de seconde main par rapport à 2024, ce qui indique une volonté décroissante de consommation durable.

La Psychologie des Achats Durables

Les données de recherche montrent que 45% des Français préfèrent encore les marques de fast fashion comme H&M et Zara [3]. Les consommateurs voient les plateformes de seconde main comme Vinted principalement comme une opportunité de ‘bonnes affaires’, pas comme une solution durable. Qui plus est, 30% des vendeurs réinvestissent directement les recettes dans de nouveaux vêtements.

Sources