Metro AG trace sa voie vers une chaîne alimentaire neutre en carbone
Düsseldorf, dinsdag, 17 juni 2025.
Lors d’une révision stratégique, Metro AG dévoile des objectifs climatiques ambitieux qui redéfinissent l’avenir du commerce de gros alimentaire. L’entreprise s’engage à réduire de 42 % ses émissions de portée 1 et 2, conformément à des bases scientifiques, d’ici 2030, avec un parcours parallèle pour les émissions de portée 3. Particulièrement notable est la réduction prévue de 30 % du gaspillage alimentaire grâce à l’optimisation innovante de la chaîne d’approvisionnement, où les processus de commande pilotés par l’IA et les stratégies de tarification dynamique sont au centre. Cette approche positionne Metro AG non seulement comme un leader en durabilité, mais montre également comment les grossistes peuvent transformer le changement climatique d’une menace en une opportunité stratégique.
Objectifs climatiques de Metro AG
Metro AG a profondément revu sa stratégie climatique mardi dernier avec des objectifs de réduction ambitieux. L’entreprise s’engage à réduire ses émissions de 42 pour cent dans les périmètres 1 et 2 d’ici 2030, avec 2019/2020 comme année de référence [1]. De plus, Metro vise une réduction de 25 pour cent des émissions de portée 3 dans la chaîne de valeur, hors secteurs alimentaires et agricoles (FLAG) [2].
Approche innovante de réduction du gaspillage alimentaire
Un élément central de la stratégie de Metro est l’ambition de réduire le gaspillage alimentaire de 30 pour cent dans ses propres opérations d’ici 2030, avec 2021/22 comme année de base [2]. Cela sera réalisé grâce à des technologies avancées telles que des systèmes de gestion des commandes assistés par intelligence artificielle, des ajustements de prix dynamiques basés sur la durabilité et la demande, et l’extension des programmes de dons alimentaires [2].
Efforts stratégiques de durabilité
Metro AG est membre de l’Initiative des Objectifs Fondés sur la Science (SBTi) depuis 2019 et a mis à jour ses objectifs en juin 2025 conformément aux normes SBTi [2]. L’entreprise a également élargi sa déclaration carbone pour inclure l’empreinte carbone des produits (PCF) de ses produits vendus, basée sur les volumes de vente et les facteurs d’émission provenant de bases de données secondaires établies [2].